- Mots de Lion -

Ici, je glisse tous mes textes nés d'un besoin d'extériorisation, vouloir donner de la force, exposer des pensées intérieures, s'échapper ailleurs, vers des horizons d'espérances et de 
prise de position.
















Je suis moi.
Le doute demeure une force, une belle force, si elle te pousse vers l'avant. Le doute est la preuve de la sincérité de ta conscience, de l'intelligence de ton cœur et de ton être, le doute te pousse à te chercher plus profondément et de déployer une once de courage pour en sortir.
Je suis moi.
Moi et mes ombres, moi et mes contradictions, moi et ces doutes, moi et ces peurs, moi. Moi dans l'ombre qui se cache, moi qui porte des masques en essayant de vivre en eux, n'atteignant que des illusions de vie. Je me fou d'être différente, de n'être pas comme les autres, personne n'a ma peau, personne n'a mes pensées et mon cœur, ils m'appartiennent. Ai-je les pas mal assurés ? Attends un peu que je l'apprenne, attends un peu que je m'ouvre comme une fleur, que je respire l'air de l'espoir, attends de me voir devenir adulte ! Je ne suis pour l'instant qu'une pousse en pleine croissance, de son cœur, de son esprit, de son âme. Mais ne me crois pas toujours faible.
Je le suis, oui. Je ne peux porter des masques de perfection et d'insensibilité à chaque instant, je ne peux combler toutes ses fissures en moi et tous ces vides. Oui, regarde, je te le dis, je ne suis pas complète, je ne suis pas un être parfait ! Et tu veux savoir ? C'est pour ça que je peux être belle ! Belle dans mes doutes, belle dans mes peurs, belle parce que je ne suis pas un robot, belle parce que je souffres, belle parce que je crois alors que parfois il ne le faut pas... Belle car imparfaite. Humaine.
Simplement humaine. Je ne vante pas cette race faible et égoïste, instable et inconsciente. Je ne me vante pas moi-même. Je te dis juste que dans mon état d'être humain, j'ai encore de l'espoir, j'ai encore la force de sourire, de croire, humaine je suis, humaine je resterai, mais vivante, remplie, épanouie !
Le temps peut courir devant moi, même je ne sais pas où je vais, je ne suis pas seule. Mes pas errent ? Mon chemin se trace doucement sur l'air du temps et de l'espace, je n'ai aucune prétention de marquer le mien par des prodigues ! Même si mon cœur a le droit d'aspirer à de « grandes choses »... Laisse le temps me montrer ce qui aura lieu !
Autrefois mes mots s'enlacèrent pour dire que la vie est une suite d'épreuves pour rendre l'âme plus vraie, plus sage, plus forte. Je le pense toujours. Mais les épreuves ne sont pas forcément que des douleurs. Si tu savais tout ce qu'il y a à apprendre ! Si tu savais comme en ce moment cela me plait de me dire que j'ai tant à découvrir ! Si tu savais comme cet esprit en moi s'émerveille de tout ce qu'il ne sait pas ! N'est-ce pas beau, tout simplement ? 




Les mots vivent car ils pensent.
Les mots soignent car ils parlent.
Les mots nous font avancer car ils nous poussent vers nous-même.

Tant de chose à remettre en question ...







Que dois-je dire. Cette rage s'empare de moi, de plus en plus. Ne suis-je qu'un rassemblement de masques ? Qu'aiment-ils, ces autres qui me voient comme une lumière ? Une lumière vide. Une lumière masque. Combien sont tombés, combien sont perdus.
J'erre sur ce chemin de glace. Je sais qu'il faut cacher cette part de soi morte. Cette part de soi qui pleure en silence, qui n'a d'autre espoir que l'attente de nouveaux jours. Vivre. Rêver. Y suis-je condamnée ?
Peut être trop de pensées s'agglutinent en moi. Peut être ne suis-je qu'une boule remplie de réflexions et de croyances futiles. Suis-je libre ? Les Penseurs disent que ce n'est qu'une illusion, mais quelle illusion... Capable de donner de la force aux hommes, de leur donner espoir, de leur donner cette impulsion de vie et de combativité... La liberté... Nous la voulons et la revendiquons, mais si nous sommes influencés... C'est nécessaire. Nous ne sommes pas fait parfaits et nous avons besoin de guide. Et la contradiction humaine réside en un besoin de liberté « guidée » !
Si je ne fais que penser, mon coeur se meurt, si je ne fais que ressentir, je perds la raison. Où es-tu, Harmonie ? Où es-tu, pont fragile de mon être ? Dois-je attendre que le Facteur Temps vienne te déposer dans ma boîte aux lettres ? Harmonie, parle moi, dis moi que tu existes, que je te trouverais bientôt, emballée en un homme ou en un être puissant ! Besoin de pleurer, besoin de rire, besoin de vivre et de rêver ! Besoin de toi, Harmonie ! Et mon coeur, si fragile, si fort, si rien et tout... Mon Univers et mon Abîme. Suis-je belle ainsi ? Qu'est-ce qui les attire ? Mes masques, mon être, les deux tant ils sont mélangés ? Qui suis-je ? Y a-t-il quelqu'un pour me le dire ?
Pourquoi ne crois-je pas en moi ? Oui, j'ai les résultats scolaires, j'ai les connaissances et les quelques amis, j'ai l'amour et l'espérance d'une vie digne... Que manque-t-il ? Que cette place là soit occupée ? Ô Harmonie, j'ai besoin de toi !

Et lui ? Les chemins s'emballent, vont se croiser et mon coeur suit la cadence. S'il y a une danse à prendre, c'est bien la sienne. Pourtant les fantômes me poursuivent, mes blessures jaillissent à mes yeux un peu plus chaque jour, je devrais m'écrouler, hurler ma haine et ma douleur et non, je suis debout, et je souris. Ne lis pas cela comme une plainte, cela fait partie de moi, je ne le sens presque plus. Je vis, je souffre, je respire, je ris et espère, comme toi.
Je t'aime.
Je t'aime. Combien de fois te l'a-t-on dit ? Je ne sais. Qu'ai-je à offrir ? Pas grand chose. Juste un coeur fragile et fort, un coeur Univers et Abîme, mon coeur qui tâte le monde et qui tâte l'espérance à ton contact.
Je t'aime. Les chemins peuvent être sombres, je puiserai en moi cette petite lumière que l'on semble m'avoir confiée. L'homme est Ombre et Lumière. Laisse moi faire briller cette clarté dans ton regard, laisse moi être moi dans tes yeux, laisse moi me voir à travers toi et me sentir vivante. Vivante contre toi, vivante en entendant ta voix... Laisse moi croire que je vaux quelque chose parce que je t'aime. Je t'aime, je t'aime, oh que je t'aime... Cela me dévore parfois, à me donner envie d'être juste contre toi et de te regarder, simplement, avoir le droit d'entendre ton souffle, avoir le droit d'être celle que tu attendais. Ne plus avoir peur de n'être rien, puisque dans tes yeux je suis quelqu'un. Ne plus avoir peur d'avancer, parce que toi tu me comprends et me tiens. Ne plus avoir peur d'être quelqu'un parce que tu es là à m'aimer. Ne plus avoir peur de rien... Juste de te perdre, de ne pas te donner tout ce dont tu as besoin, de ne pas être celle qui pour qui tu es fait... Laisse moi être cette fille, laisse moi être bientôt cette femme... Fais de moi un Univers... !
Bien facile d'écrire des mots. Bien facile pour moi qui les manipulent depuis si longtemps, bien facile et peut être sans grande valeur.... Alors je te le dirais avec mon corps, avec mes mains et mes regards, mes sourires et mes rires, avec ce que je suis, avec ces miettes de moi dont je peindrai un tableau juste pour te dire que je suis lorsque nous sommes... Bien facile d'écrire. Alors je me tais et je t'embrasse... 




Il y a des soirs comme ça, où tout nous écrase, où notre propre faiblesse nous est insupportable. Les mots, ont quelque chose de magique. S'épurer soi-même en écrivant, se donner un élan qui n'existe nulle part ailleurs que dans ce que vous écrivez au moment présent. Il nous arrive tant de fois de tomber et de croire que nous n'aurons jamais la force de relever les yeux vers le ciel, que... Que je me dis que tous ces mots ne sont pas perdus. Ils donnent de la force, de l'espérance, et cette rage de vaincre qui est possible, en chacun de nous !

So, Enjoy ...









La furieuse envie d'être.
De se détacher de ses liens du monde pour plus en dépendre, être par soi-même.

Exister. Assumer d'être.
Ce que l'on a été, ce que l'on est, ce que l'on sera.
Toujours aimer ce que l'on voudrait être, ce que l'on voudra être.
Se tendre comme une ligne droite dans l'univers, un tracé non rectiligne mais qui va de l'avant. La ligne courbée de vie.
Trouver cette impulsion, cet élan, cet équilibre.
Tant de rêves qui deviennent les gouffres des regrets, tant de pensées tombées dans le doute, tant de choses encore qui bouent en nous et qui finissent par nous fixer au fond des océans.
Comment prouver ? Comment se prouver que l'on existe ?
Chercher chez l'autre ? Chercher chez soi ?
Chercher chez l'autre et se comprendre soi. Se comprendre soi et se tenir près de l'autre.
D'où me vient cette rage de rabâcher la même envie de vivre, cette rage qui me prend par les tripes et qui ne me laisse de répis que lorsque je l'ai couchée sur le papier. Non, que lorsqu'elle est debout dans mes mots, fière, brandissant sa passion et se moquant des regards lassés ou incompréhensifs.
Oui, cette rage, elle m'anime, c'est une flamme qui réchauffe, exalte, me pousse en elle.
Ma flamme.
J'ai envie de réussir.
Je veux réussir.
Je veux lever le poing, je veux gratter la terre, virevolter, m'oublier, couler sur la vague, ma vague.
Il faut sauter dans le tourbillon, dans ce rythme de tambour et de violons qui m'encercle, tournoie dans mon coeur et sa joie, mes pieds décollent et mes cheveux tracent des alcôves de lumières colorées.
Je veux vivre.
Peu importe le chemin, les sacrifices et les larmes.
Avoir la force de se lever du banc où s'assoient les médiocres et les impensants, les insensibles et les sans saveur.
Je veux de la folie, de la surprise, de l'intensité, des offrandes de vérité.
Il faut sortir de ce monde gris, de ce monde réglé comme une horloge qui sonnera bientôt sa dernière heure, il faut en sortir, il faut en sortir !
Mais par où...
Transmettre ?
Aimer ?
Créer ?
L'homme est une cage de pulsions. L'homme est un monstre d'illusions.
J'en appelle aux anges et aux consciences, à la liberté et la sensation de vivre, de venir me visiter, de venir me tirer de ce tiroir sans fond, sans goût, sans ouverture.
Je ne sais pas ce que je suis.
Ou peut-être pas assez.
Je m'en fous, je veux continuer, le présent ne s'attrape pas, il se révèle.
Le passé se déroule et s'analyse mais ne se refait pas. Tant pis, il est moi et je suis lui. Un peu.
Le futur se gagne. Il a un prix. Il suffit de trouver l'entente des rêves et des réalités.
Tant de rêves qui deviennent les gouffres des regrets, tant de pensées tombées dans le doute, tant de choses encore qui bouent en nous et qui finissent par nous fixer au fond des océans.
Plus maintenant.
Je veux de la folie, de la surprise, de l'intensité, des offrandes de vérité.
Il faut sortir de ce monde gris, de ce monde réglé comme une horloge qui sonnera bientôt sa dernière heure, il faut en sortir, il faut en sortir !
La furieuse envie d'être.
De se détacher de ses liens du monde pour plus en dépendre, être par soi-même.
Exister. Assumer d'être.
Ce que l'on a été, ce que l'on est, ce que l'on sera.



I-

Je ne m'offrirai plus à ce néant là. 
Mots qui brûlent.
Oui, j'ai été marquée au fer rouge.
Mais cela ne sert rien de vouloir faire sortir ces mots. 
Juste à attiser les flammes qui me dévorent.
Ne plus jamais m'abandonner au trou noir.
De moi-même.
Je suis moi. 
Mon inconscient et mon conscient.
Au premier je lui laisse mes ombres, mes cauchemars, mes désirs noirs et rouges, mes hontes, mes déceptions.
A l'autre j'y cultive mes rêves, mon espoir, l'eau de mon cœur qui deviendra rivière. 
Là est le fait salvateur.
Ne pas faire sortir ce feu malsain, ouvrir mon esprit au Mangespoir, à sa volonté de rendre cendre. 
Les voiles ne sont pas tous fait pour être déchirés. Je me connais. Je sais ce que je suis, ce qu'il y a en moi. 
Affronter toutes mes horreurs d'un seul coup, c'est au delà de ma force.
Le faire sortir le fait entrer en moi. 
Impossible de le dire autrement. De vouloir ouvrir la porte fait qu'il prend encore plus de place.
Lorsqu'il s'étend, je suis lui, il devient un miroir déformant ma réalité. 
La brouille et la rend monstrueuse, suis-je incapable de me voir ainsi ? Oui.
Serait-ce être incapable de se regarder en face ? 
Suis-je moins belle à tes yeux si je te dis que pour l'instant je ne peux pas, pas de cette manière là ?
Je n'ai pas besoin de faire sortir mes ombres, juste de faire couler la rivière qui est en moi.
Cette rivière vive et lumineuse, remplie de vies, de couleurs, de filets à rêves, de courants, prise dans un chant éternel.
Vous venez vous y promener souvent, à ma rivière, y tremper un orteil pour en goûter la fraîcheur, tenter d'attraper mes petits poissons, courir à ma vitesse, je suis rivière.
Je ne m'offrirai plus au néant.
Juste au silence.
Qui apaise. Le silence avant la pluie.
Il y a des esprits, des démons dans le Mangespoir.
Leur donner des mots pour s'exprimer, c'est leur donner vie.
Alors je n'écrirai plus de cette manière là.
Laisse moi être la rivière, source de vie et de force, eau qui guérit et qui rafraîchit.
Qui change d'état mais qui jamais ne s'arrête.
Tu ne m'enlèvera pas ma rivière.


II-

Le lion pleure. Si tu savais comme je pleure.
D'avoir été trahie, jetée à terre, destituée, vendue pour une poignée de peurs plus fortes que moi.
Le lion est un roi du feu libre, de l'or du soleil, de l'horizon de demain et avance, bien plus fort que les hommes.
Tu aimes la lumière de sa crinière, sa démarche souveraine, son air tranquille, 
et même toute la puissance qu'il peut faire exploser en un rugissement.
Écrire pour se purifier.
Se purifier avec de l'eau.
Lion pleure. Il est en rage.
On ne cesse de l'attaquer, le blasphémer, le provoquer. 
Et impuissant face à l'ombre, il ne peut que rugir après elle, la mordre, 
et hurler à tous ceux qui l'approchent qu'il tuera tout ce qui se mettra en travers de son chemin.
Il hait cette ombre qui vole au dessus de sa tête, comme un souvenir attaché à lui telle une sangsue. 
Lion qui veut aller parler au soleil, s'imprégner de lui et aller vaincre le nuage qui l'encercle. 
Faire jaillir une lumière de vie qui s'élancera sur toute la terre qu'il gouverne.
Lion pleure.
Eau qui chante. Doucement entre ses moustaches.

III-


Larme et rage.
Parce que derrière le lion se cache une fille.
Une fille banale, une fille qui se cherche et ne se trouve que lorsqu'elle tombe.
Un être humain avec un cœur, un esprit et une âme.
Une fille rongée de faiblesses, de doutes, de blessures, de déceptions.
Une fille comme tout le monde qui n'a trouvé qu'une seule chose pour survivre. 
Pour donner la vie, pour se trouver, pour attirer les autres, les soigner, les faire espérer.
Les mots.
De petits poissons colorés dans la rivière.

Je t'interdis d'oublier.
Si la fille faiblit, la rivière recule et le lion pleure.
Ce n'est pas un mal en soi.
Mais je veux juste que tu n'oublies jamais où se trouve la source de la rivière et le cœur du lion.
En elle.
Elle est la source, le cœur. 
L'origine.
Tu peux essayer de l'atteindre et de lui faire du mal, alors la rivière et le lion rugiront contre toi.
Approche toi doucement, caresse l'eau et la crinière.
Donne leur des mots tendre, des mots vrais, des mots intelligents et qui la feront avancer.
Approche toi et prends soin d'elle, alors la rivière chantera et le lion reprendra sa course.
La course sur les Étoiles, à aller parler aux hommes et à leurs cœurs.

Avec de l'eau comme baume,
Une crinière de lion comme lumière,
Et un cœur de fille pour vivre.





Voici un texte écrit d'un jet dans le train me ramenant de Paris où j'ai passé une semaine... hors norme.
On n'en revient changée, grandie, plus forte malgré les blessures, on apprends à devenir ce que l'on est et à découvrir tout ce que nous pouvons nous cacher à nous-même. Grandir.
La première personne qui l'a lu a eu pour commentaire : c'est magnifique mais c'est triste.
Sans doute, mais cela reste dans le vrai et c'est l'essentiel.

"J'ai le droit de vivre.
J'ai le droit d'être libre.
Où est le chemin qui me rendra entière à moi-même, où est la voie, où est MA voie ?
J'ai tout donné et tout à reconstruire.
Une page grise à la recherche d'une encre colorée.
M'entends-tu, toi, esprit en route, au carrefour de mon être ?
Écoutes-bien.
Je ne le redirais jamais assez.
Il est temps pour moi d'exister.
Je veux être pleinement moi. Passé et futur sur le fil du présent.
Je veux être belle d'être libre.
Je veux porter mes fardeaux dans la dignité du combattant qui a livré une juste bataille.
Me cherches-tu ?
Je suis juste à la frontière.
Juste là devant toi.
Nue de tous secrets. Nue de larmes et de sourires.
Simplement moi.
J'ai le droit de vivre.
J'ai le droit d'être libre.
Tu m'entends ?
J'ai mal, plus que jamais, mais je vais tenir.
Pour ma liberté.
Pour ma dignité.
Pour moi.
Pour une fois ! "


On pousse toujours les gens à aller vers la logique, il faudrait simplement qu'ils apprennent à s'écouter eux-mêmes, à se connaître et à s'accepter. Tout n'est pas rose. Il faut juste savoir transformer la douleur en une force qui nous pousse en avant.


Patte Blanche.





Et voici un texte d'une petite réflexion, les deux étant des jets, non retravaillés.

"Le temps c'est du sable.
On croit pouvoir le contenir entre nos doigts, pourtant tous ces grains qui nous échappent sont perdus à jamais.
Ce que l'on attend longtemps passe à la vitesse de la lumière. L'ennui est l'enclume du monde qui nous fait couler au fond de l'oubli.
Le temps c'est du sable.
Il peut être un désert comme une plage de vie.
Le temps.
Tout le monde voudrait pouvoir le prendre.
Je voudrais juste le caresser pour calquer mon coeur sur le sien."


Passez une bonne fin de semaine (et de vacances si c'est le cas...)

Patoune